Archives de Tag: storytelling gourmand

5 conseils pour raconter son histoire de startup

Chaque fondateur se trouve au défi de présenter efficacement son projet et se demande comment raconter son histoire de start up. Voilà quelques conseils pour communiquer de manière narrative, c’est-à dire en utilisant le storytelling, selon les étapes d’avancement du projet. L’histoire de l’application gourmande BIM et le parcours de sa fondatrice Anne Christelle Perochon sont une illustration concrète et réussie de ce type de storytelling.

Raconter son histoire de start up : soigner le début.

storytelling de la fondatrice de la startup Bim

Anne Christelle Perochon, cofondatrice de Bim

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Storytelling anti-gaspi de la start up Optimiam

Accompagnant le printemps et ses jeunes pousses, voilà un premier exemple inspirant de start up au féminin. Lors de la Journée de la Femme Digitale 2017, Raodath Aminou a raconté comment elle a créé l’application Optimiam. Cette foodtech se déploie grâce à un storytelling anti-gaspi, mais gourmand, cohérent et maîtrisé. Voyons comment.

Storytelling anti-gaspi d’Optimiam : le début de l’histoire

Le storytelling d’une start up repose le plus souvent sur celui de son fondateur ou de sa fondatrice, qui, au début, est lié à la naissance de l’idée. Le challenge est ensuite que chacun puisse s’approprier cette histoire.

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Apollonis, muse du #storytelling du champagne Michel Loriot

Michel Loriot décline sa gamme de champagne autour d’un fil narratif musical, qui porte une communication originale et différenciante. Mais l’homonymie de certains concurrents producteurs crée de la confusion auprès de ses cibles. D’où la création du nom de marque Apollonis pour renforcer son storytelling gourmet par une mémorisation attachante. Voyons comment.

Le storytelling musical, enraciné dans l’histoire des origines

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Le Gallais, #storytelling d’un clos en #Champagne

Le champagne Le Gallais développe son storytelling gourmand à partir de son lieu, clos atypique dans cette région, porteur d’une nature rare et magnifique, évocateur d’histoires festives et littéraires, transmis de génération en génération et inspirant à ses auteurs des cuvées vives et aromatiques à forte personnalité.

Un lieu remarquable pour enraciner son storytelling

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Lyon poursuit son storytelling gourmand

Après avoir lancé en 2013 son ambitieux dispositif transmedia autour de la « Chef factory », la ville développe son storytelling gourmand au travers d’une websérie culinaire.

Le pitch

Dans chaque épisode, un ancien élève de la « Chef Factory » ( Meilleur Ouvrier de France, Chef, Sommelier, Producteur etc.) dévoile un de ses secrets à la directrice de l’école, incarnée par la comédienne Armelle. Le ton humoristique choisi se révèle un challenge d’équilibre entre le sérieux des chefs existants et le rôle plus ou moins déjanté de la directrice fictive.

Le dispositif

La websérie se décline en 10 épisodes de durée variable (entre 3 et 7 min) et se déploie sur

  • le site de la Chef Factory
  • You Tube (1er épisode avec 97 576 vues et les suivants nettement moins).  Les épisodes postés simultanément sur cette plateforme ont peut-être créé une certaine saturation au lieu d’obtenir  l’effet feuilleton suscité par exemple par La nuit de YSL.
  • la page Facebook qui a connu une augmentation de ses fans (3795)

Et une touche d’intercuturel avec la vidéo en japonais du chef Takao Takano, qui vient de recevoir sa 1ère étoile Michelin à Lyon et  rappelle que la ville, en dehors d’être gourmande, est classée au patrimoine culturel de l’Unesco.

 

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Kusmi Tea: storytelling beauté des mélanges

Le storytelling des « produits » Kusmi Tea se décline naturellement de l’histoire mélangée de la maison de thé. C’est ainsi que dans la première campagne télévisée mondiale pour une marque de thé, les arômes des différents mélanges de thé sont interprétés par des personnages féeriques qui incarnent le thé de Chine, les épices d’Inde, les agrumes d’Italie, le maté du Brésil/Argentine, la vanille des Iles … Ils infusent par couple dans 3 spots qui évoquent chacun 3 mélanges maison : 1 thé de l’origine de la maison, créé en 1888, Prince Vladimir et 2 thés dans l’air du temps, BB detox et Sweet Love.

Ces spots dont l’esthétique relève volontairement des codes esthétiques du luxe et de la parfumerie ont été conçus par l’agence Quai des orfèvres. Le dispositif est complété par le film cinéma qui reprend et mélange les 3 spots.

Sur Facebook et You Tube, les internautes, invités à choisir le film qu’ils préfèrent, sont déjà plus de 250 000 à avoir visionné la pub volontairement.

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Kusmi Tea : storytelling de l’entreprise

Kusmi Tea résulte du mélange de 2 histoires : celle de la famille Kousmichoff ravivée par celle des Orebi.

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Prince Vladimir, le mélange préféré des tsars qui fit la fortune de la maison Kousmichoff

Cette histoire franco-russe se développe sur 3 générations : Pavel, fils de paysan et simple livreur dans une maison de thé, s’initie aux secrets de cette boisson et fonde dès 1867 la maison Kousmichoff à Saint Petersbourg la maison Kousmichoff. Il crée des mélanges (Bouquet de fleurs, Prince Vladimir) qui ont la faveur du tsar dont il devient fournisseur officiel. La maison prospère, mais Pavel meurt et la révolution pointe. Le fils Viatcheslav, qui a appris les règles du commerce du thé à Londres, établit en 1917 sa maison de thé Kusmi Thé à Paris. Il y connaît à nouveau le succés, mais la 2ème guerre mondiale affaiblit la marque qui ne retrouve plus sa notoriété. Son fils Constantin n’arrive pas à redresser l’entreprise qu’il céde en 1973 à des repreneurs aussi artistes et peu gestionnaires que lui.

storytelling-kusmi-tea

l’enseigne russe à Paris aujourd’hui

C’est alors que la famille Orebi entre en scène. Elle excelle dans le commerce des matières 1ères depuis la moitié du 19ème siècle, dans le coton puis les métaux non précieux. A partir de 1962, elle se concentre sur le café et le cacao. C’est alors que Sylvain Orebi, en rachetant une maison de commerce havraise, découvre une activité de thé en vrac, qui lui donne le déclic.  Il recherche alors une marque à racheter pour développer cette activité. En 2003, c’est chose faite et la marque se transforme en Kusmi Tea. Elle redevient bénéficiaire en 2008.

Ce storytelling de l’entreprise sert de base au storytelling gourmand des produits.

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