La dimension narrative entre au Palais de Tokyo via les curateurs émergents de l’art contemporain. Le storytelling est à l’honneur de certains modules où le récit donne du sens ou un nouveau sens aux œuvres juxtaposées.
Ainsi la suédoise Ravini présente, dans le module The black Moon, une « exposition-roman » où elle scénographie la rencontre d’un homme et d’une femme. Le tout sera « narrativisé » par un livre et un film réalisés durant l’exposition.
L’italien Lo pinto a choisi, quant à lui, le script comme fil conducteur de son module Antigrazioso. Récits, objets et oeuvres d’art placés dans une même salle déroulent un scénario que le public est censé appréhender dans son intégralité.
Le module Le club des sous l’eau plonge son histoire dans celle du cinéaste scientifique Jean Painlevé, en réactivant le club qu’il créa lui-même en 1934 !
Pour en voir plus, Nouvelles vagues au Palais de Tokyo jusqu’au 9 septembre 2013.